Dimanche 4 décembre 2011 à 15 h.
Salle Georges-Brassens, rue Jean-Jaurès, Sète
Entrée gratuite
Collecte au profit de la Ligue contre le cancer
Travaux de rénovation du Théâtre Molière obligent, le concert de la Sainte-Cécile aura lieu cette année à la salle Georges-Brassens. Ce changement de décor ne sera qu’une occasion supplémentaire pour les musiciens de l’Harmonie et leur fidèle public d’honorer l’illustre poète et chanteur natif de Sète dont on célèbre cette année les 90 ans de la naissance et les 30 ans de la disparition. Outre bien sûr une évocation de quelques-unes de ses plus célèbres chansons, le programme fera la part belle à de grands noms de la variété française.
1e partie
- Lightning Fire (Marcel Saurer)
- Paso Dorada (Wim Laseroms)
- Signé Gainsbourg (arr. Patrick Poutoire)
- The Outsider (Wim Laseroms)
- Jean Ferrat “Hommage au poète” (arr. Alain Crépin)
- House of the Rising Sun (arr. Donald Furiano)
- Polnareff Medley (Michel Polnareff, arr. M. De Low)
- Éternel Brassens (arr. Laurent Delbecq)
2e partie :
- Fanfare Jubiloso (Ivo Kouwenhoven)
- Dans les Yeux d’Émilie (Vivien Vallay / Yvon Ouazan / Pierre Delanoë / Claude Lemesle, arr. Norman Tailor)
- Crazy little thing called love (Freddy Mercury, arr. Andrea Ravizza)
- Lama (arr. Maxime Legaulois)
- Jacques Brel toujours ! (arr. Roland Kernen)
- Arturo (Lorenzo Pusceddu)
- Beyond the sea (Charles Trénet / Albert Lasry, arr. Steve McMillan)
Pendant un an j’ai fait défiler des troupes au son des marches classiques : St Cyr, celles des Tirailleurs Sénégalais ou des Dragons de Noailles etc. et même, à la demande du colonel, sur la chanson de Delpech : Pour un Flirt (pour la petite histoire, seule la musique arrivait à marcher correctement au pas). C’est en pensant à ça que je souris en me disant qu’il aurait été plus agréable de marcher sous La Mauvaise Réputation ou Les Funérailles d’Antan d’où mon premier commentaire.
A bientôt.
Cher Yves, le Bon Dieu nous a donné deux jambes, que ce soit pour partir à la guerre ou… à la chasse aux papillons et nul, fût-il l’ami Georges Brassens ou Albert Einstein (autre pourfendeur illustre de musique militaire), ne pourra empêcher qu’un rythme à deux temps vous évoque une marche… Merci quand même de votre écoute et à bientôt !
J’y étais, j’ai aimé! Bien sur tout n’était pas parfait, quelques aigus ont accroché nos oreilles et les yeux d’Emilie doivent encore pleurer mais on a passé un bon après-midi. La chasse au papillon façon marche militaire a du bien faire rire l’auteur qui disait que la musique qui marche au pas ne le concernait pas mais peut-être qu’il n avait pas pensé à cette orchestration.
On reviendra le 25 mars pour la “battle” en compagnie de l’harmonie de Palavas.
Brassens version philharmonique, je suis partant pour entendre çà, dommage que l’acoustique de la salle Brassens ne vaille pas celle du théâtre Molière!